poissons et communication
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poissons et communication
Voilà quelques écrits trouvés sur le net tentant d'apporter des réponses sur les différents moyens de communication des poissons. Rien n'est à prendre au pied de la lettre les informations peuvent être dépassées, fausses ...
Auckland, Nouvelle-Zélande - Des scientifiques ont démontré que les poissons pouvaient communiquer à l'aide de petits grognements, grondements et autres bruits de bouche.
La conclusion d'une étude menée à l'Université d'Auckland prouverait que le silence n'est pas d'or sous l'eau. Les chercheurs auraient ainsi démontré que les poissons communiquent pour se séduire, pour s'avertir du danger, pour donner des directions ou juste avoir des discussions de fond. Le chercheur Shahriman Ghazali de l'Université d'Auckland a présenté son travail lors de la 50e Conférence annuelle du département de la Science Marine de Nouvelle-Zélande et espère maintenant pouvoir décoder les contextes pour chacun des types de communication et savoir ce que chaque son doit vouloir dire. Pour cela, il place différentes espèces de poissons dans des aquariums, attend qu'ils commencent à se sentir chez eux, et enregistre ensuite la moindre perturbation dans l'eau à l'aide de micro et d'autres instruments adaptés.L'étude aurait révélé que la morue n'est pas très bavarde alors même que le grondin, ou plus communément rouget est particulièrement communicatif et cela toute la journée. Pour l'instant les hypothèses seraient qu'ils essaient d'attirer des congénères, ou afin d'effrayer des prédateurs ou s'orienter autour des récifs. Certaines communications s'articulent autour de la saison des amours, où faire du bruit permettrait de synchroniser la libération des oeufs afin de permettre la fertilisation.M. Ghazali conseille finalement aux propriétaires de poissons rouges de ne pas se retenir de parler à leur petit animal. "Les poissons rouges ont une excellente écoute mais ne produisent pas de son particulier", a-t-il affirmé.
Quelques mots sur les poissons
On compte quelque 28 000 espèces de poissons différentes, qui représentent environ la moitié des espèces de vertébrés (animaux pourvus d’une épine dorsale) connues dans le monde. Certains poissons sont adaptés à presque tous les types d’environnements aquatiques, qu’il s’agisse de mares, de lagons ou d’océans.
La plupart des gens pensent que le poisson a un cerveau minuscule et que sa mémoire est extrêmement brève. Cependant, les scientifiques ont découvert que les poissons sont bien plus intelligents qu’on ne le laisse entendre. Les biologistes et les psychologues qui étudient les poissons affirment que ces derniers possèdent des capacités d’apprentissage et une mémoire, ainsi qu’un éventail d’autres aptitudes cognitives. Le poisson arc-en-ciel australien a appris à s’échapper d’un filet dans son aquarium, et s’en souvenait encore plusieurs mois après. En outre, les poissons qui ont survécu à la capture dans un filet au début de leur vie apprendront à s’éloigner à l’approche d’un chalutier.
Dans un article paru en 2003 dans la revue Fish and Fisheries, les biologistes Calum Brown, Keven Laland et Jens Krause ont cité plus de 500 documents de recherche corroborant le fait que les poissons sont désormais perçus comme des créatures tout à fait intelligentes, aux relations sociales très complexes. Les poissons coopèrent pour examiner leurs prédateurs et trouver leur nourriture et, parfois, ils adoptent même des stratégies de manipulation, de punition et de réconciliation.
Les recherches effectuées au cours des dernières années montrent que les poissons reconnaissent leurs congénères ainsi que le prestige social. Ils ont même des relations. Les scientifiques ont également remarqué que certains poissons ont des traditions culturelles stables, comme l’utilisation d’outils et la construction de nids complexes. Certains poissons d’Afrique du Sud, par exemple, pondent leurs oeufs sur des feuilles avant de les emmener dans un endroit sûr, la feuille servant de panier pour le transport. On sait aussi que d’autres poissons entretiennent des jardins dans lesquels ils favorisent la pousse d’algues savoureuses en éliminant les plantes qu’ils n’aiment pas.
Les sensations des poissons
Beaucoup de gens croient toujours que les poissons sont des créatures idiotes qui n’ont pas conscience de leur environnement. Les gens peuvent ainsi croire que la pêche n’est pas un problème et que les poissons qu’ils attrapent ne souffrent pas. Il n’y a rien de plus faux. Les poissons sont en réalité dotés d’un système nerveux complexe qui comprend la douleur et y répond. Comme l’explique Donald Broom, conseiller scientifique auprès du gouvernement britannique : « La documentation scientifique est assez claire. D’un point de vue anatomique, physiologique et biologique, le système de la douleur des poissons est quasiment identique à celui des oiseaux et des animaux ». Au Royaume-Uni, les scientifiques de l’université d’Édimbourg et du Roslin Institute expliquent qu’en réponse à la douleur, les poissons ressentent également le stress qui se traduit par un mouvement de « balancement » de l’animal. Ce mouvement ressemble assez à celui que l’on observe chez les mammifères souffrant de stress. Au bout du compte, il est clair que les poissons souffrent lorsqu’ils mordent à un hameçon ou lorsqu’ils sont pris dans un filet. Ils souffrent comme tous les mammifères
Le saviez-vous?
Chez certaines espèces de poisson, la femelle et le mâle ont une forme ou des couleurs différentes mais, chez de nombreuses autres espèces, il n’y a aucune différence visible pour l’homme.
• Il existe quelques espèces de poisson tout à fait uniques qui ont des poumons et qui respirent l’air, mais la plupart respirent à l’aide de branchies. Les branchies sont composées de minces couches de tissu couvertes de vaisseaux sanguins. Lorsque l’eau passe sur les branchies, l’oxygène dissout pénètre dans le sang et les déchets, comme le dioxyde de carbone, sont rejetés dans l’eau. Les branchies sont protégées par une plaque osseuse que l’on appelle un opercule.
• La plupart des poissons ont une ligne latérale composées d’une rangée d’écailles allant de leur tête à leur queue. Sous ces écailles se trouve un système composé de canaux remplis de fluide et de cellules spécialisées qui transmettent des vibrations au cerveau. Cette ligne latérale aide les poissons à détecter des objets dans l’eau, notamment les prédateurs et les proies.
• Si vous touchez un poisson, vous le trouverez probablement gluant. Ce dépôt gluant dont est recouvert le poisson est en fait le mucus sécrété par sa peau. Cette couche de mucus protège le poisson contre les parasites et les maladies, couvre les blessures pour empêcher toute infection et l’aide à avancer plus vite. Le mucus de certaines espèces de poissons contient également des toxines qui repoussent leurs prédateurs.
• Le biologiste marin Ben Wilson, du Bamfield Marine Science Centre (Canada), a dirigé en 2003 une étude qui a permis de découvrir que le « pet » est peut-être très important, dans la mesure où il aide les poissons à communiquer entre eux dans l’obscurité. Les chercheurs ont découvert que le hareng émettait de petits bruits semblables à des pets, en avalant de l’air à la surface et en le faisant ressortir par un orifice situé près de sa queue. Ces bruits semblent aider les poissons à localiser leurs congénères lorsqu’il fait nuit, sans éveiller l’attention des prédateurs.
• La perche grimpeuse, originaire d’Inde, peut se déplacer sur le sol afin de rechercher de l’eau lorsque le trou d’eau dans lequel elle se trouve est sec!
• Les poissons communiquent entre eux à l’aide de divers petits cris aigus et d’autres sons à basse fréquence que les humains ne peuvent entendre qu’à l’aide d’instruments spéciaux. Certains poissons chantent pour faire la cour à des partenaires éventuels.
• Les poissons aiment être touchés et, souvent, ils se frottent les uns contre les autres… un peu comme un chat qui vient se frotter contre vos jambes.
• La chair de poisson est souvent contaminée par le mercure (qui peut causer des dommages au cerveau) et des produits chimiques toxiques comme le DDT, les BPC et des dioxines (qui ont été mis en cause dans des affections telles que le cancer, les troubles du système nerveux et les infections du fœtus), ainsi que des bactéries.
les animaux communiquent vraiment
Il a été prouvé que le langage est une forme symbolique et créative de communication. Il ne s''agit pas uniquement d''une succession de buts à effet immédiat? Contrairement aux humains, les animaux communiquent généralement seulement dans trois situations spécifiques. Pour échanger une information sur les sources de nourriture, pour renforcer les liens entre les partenaires pendant la saison des amours ou pour appeler à l''aide en cas de danger. La caractéristique de la communication animale est que chaque signal correspond à une seule information. Une nuit pluvieuse le concert d''une grenouille remplit l''obscurité d''une mare. Il invite les femelles de sa puissante voix. Les sérénades locales dans la foret s''élèvent avec la beauté des chansons nocturnes.La plainte du coyote brise le silence et la sècheresse d''un désert poussiéreux . Les sons de la nature sont tout autour de nous, c''est la preuve de la richesse du royaume animal. Ces sons peuvent être des messages codés provenant des animaux. Mais il s''agit certainement en fait de leur propre langage.
Les animaux marins communiquent par sons. Précisemment pour communiquer et spécialement la nuit.Les poissons ont une adaption anatomique a la fois pour produire leurs propres sons distinctifs et aussi pour les recevoir. Leur principal instrument est généralement leur vessie remplie de gaz.Ils produisent des sons différents selon leur race de poisson.certains grognent, d''autres produisent de longs et lents hoquets,alors que pendant ce temps un autre fait un bruit de corne de brume. Le choeur pourrait avoir plusieurs fonctions comme partager des informations au sujet des meilleures sources de nourriture et peut-être produire des hormones qui contrôlent le reproduction. Chez certains animaux, la communication a un niveau si sophistiqué que l'' on a déduit qu''ils ont un langage propre. par exemple un type de communication étrange prend naissance parmi les abeilles. Quand l''une d''elles découvre une source de nourriture elle retourne à la ruche ou elle passe l''information aux autres ouvrières. Ceci est fait par l''apparition de danses. la nourriture est localisée dans un cercle pour attirer l''attention, la localisation de la danse aura figure d''un huit. La rapidité de la danse indique la distance. Pour 40 tours correspond 100mètres, alors que 24 tours signifient plus que 500 mètres.
Selon une étude réalisée, il a été prouvé que les poissons communiquaient entre eux par le biais de sons.
Bien évidemment, il ne s’agit pas des mêmes sons que nous, les humains émettons ou encore moins ceux émis par les oiseaux. Une équipe de neurologues, d’anatomistes et de biologistes marins ont publié dans Science, le 18 Juillet dernier, une étude sur les cerveaux de différents poissons. Et c’est cette même étude, qui a prouvé qu’ils pouvaient émettre des sons suivant qu’ils recherchent la femelle ou défendent leur territoire. Qu’ils soient rouges ou bleus, les poissons communiquent grâce à un réseau neuronal primitif qui n’a eu de cesse d’évoluer chez les vertébrés.
Pour ceux qui veulent avoir des détails un peu plus scientifiques, il faut savoir que ces chercheurs ont mis en évidence un groupe de neurones un peu particulier chez les larves de poisson-crapaud. Avec l’aide d’un microscope, ils ont observé que ces cellules nerveuses se développaient et formaient des connections entre elles. Et ce réseau de communication, on le retrouve chez les Amphibiens, Reptiles, Oiseaux et Mammifères.
Nous ne savons pas ce que vous en pensez, mais c'est le genre de nouvelle qui nous pousse à réfléchir effectivement un peu plus sur nos origines et notre évolution.
Le monde perceptif des poissons
Les oreilles intérieures des poissons perçoivent tout un monde aquatique que les humains ne peuvent appréhender sans l'aide d'hydrophones. Sans avoir de cordes vocales, les poissons « parlent ». En comprimant leurs vessies natatoires, en faisant grincer leurs dents pharyngales, en frottant ensemble certaines de leurs arêtes, ils produisent des sons qui peuvent varier de bourdonnements et de clics à des glapissements et des sanglots. Selon les découvertes des spécialistes de la biologie marine, les « vocalisations » des poissons communiquent des états comme la cour, l'alarme ou la soumission, en même temps que l'espèce, la taille et l'identité individuelle du « locuteur ». Le satinfin shiner mâle, par exemple, ronronne lors de sa cour et émet des coups sourds quand il défend son territoire.
La ligne latérale, organe sensitif que la plupart des poissons possèdent de chaque côté du corps, formée d'une série de poils sensibles alignés de la tête à la queue, détecte elle aussi les vibrations. Pendant la nage, elle signale au poisson les objets proches grâce aux vibrations qu'ils renvoient, autorisant ainsi la navigation et la localisation précise des proies dans l'obscurité.
La sensibilité des poissons à la lumière est supérieure à la nôtre. Beaucoup de poissons des profondeurs voient dans une pénombre où un chat ne voit rien. Les espèces d'eau peu profonde ont une vision à deux niveaux à l'aube, les cônes de la rétine, sensibles à la couleur, s'avancent, et les bâtonnets, sensibles à la lumière faible, se rétractent en profondeur ; au coucher du soleil, le processus s'inverse. Pendant la transition, de nombreux poissons bénéficient d'une aptitude à percevoir la lumière ultraviolette, qui suffit à leur indiquer la silhouette des insectes à la surface de l'eau. Une lumière vive soudaine, due par exemple à une lampe de poche, surprend et désoriente un poisson dont la vision s'est adaptée à la nuit. Il arrive alors qu'il fuie, ou qu'il se fige sur place, ou qu'il coule. La lumière peut aussi détruire des bâtonnets.
Chez la plupart des poissons, les papilles gustatives se répartissent non seulement dans la bouche et la gorge, mais aussi sur les lèvres et le museau. Beaucoup d'espèces qui se nourrissent sur le fond ont des récepteurs gustatifs aussi sur des extensions de leurs nageoires pelviennes ou sur des barbes sous leur menton, qui jouent le rôle de langues externes. Les poissons-chats, grâce à leurs centaines de milliers de récepteurs gustatifs, peuvent goûter la nourriture à une certaine distance.
Quelle sensibilité les poissons ont-ils aux odeurs ? Les saumons peuvent parcourir des milliers de kilomètres au cours de leurs migrations, et, plusieurs années plus tard, reconnaître à l'odeur leur cours d'eau d'origine. Les anguilles américaines détectent l'alcool à une concentration d'un milliardième de goutte dans 90 m3 d'eau (le contenu d'une grande piscine). D'après sa seule odeur, certains poissons peuvent déterminer l'espèce, le genre, la réceptivité sexuelle, ou l'identité individuelle d'un autre poisson.
Les poissons réagissent fortement au fait d'être touchés. Lors de la cour, ils se frottent souvent doucement l'un contre l'autre. Des enregistrements effectués par le Narragansett Marine Laboratory ont révélé que le robin des mers [sea robin] ronronne quand on le caresse. Ricardo Mandojana, photographe sous-marin, gagna l'amitié d'un poisson-juif initialement méfiant en lui grattant légèrement le front. Au cours des mois suivants, le poisson, apparemment impatient de se faire caresser, venait à la rencontre du plongeur lors de ses tournées.
De nombreuses espèces de poissons ont des centaines de récepteurs électriques sur leur peau, qui leur permettent de détecter la forme du champ qu'ils produisent eux-mêmes. Un objet moins conducteur que l'eau, telle une roche, forme une ombre dans le champ ; un objet plus conducteur, telle une proie, apparaît comme un point brillant. L'image électrique que perçoit le poisson lui indique le lieu, la taille, la vitesse et la direction de déplacement de l'objet. Un poisson électrique peut aussi « lire » la décharge produite par un autre, laquelle dépend de la taille, de l'espèce, de l'identité individuelle et des intentions (qui peuvent être, par exemple, le défi ou la recherche d'un partenaire sexuel) de celui qui le produit. Le poisson-couteau rayé mâle affirme sa dominance par le moyen d'une série rapide d'impulsions ; son rival potentiel se soumet en cessant de « parler ».
Qu'ils produisent ou non eux-mêmes des signaux électriques, de nombreux poissons sont sensibles au champ électrique qu'engendre tout être vivant et peuvent ainsi détecter une proie cachée sous le sable ou le gravier. Theodore Bullock, spécialiste des systèmes nerveux, a noté que certains requins peuvent percevoir un champ électrique équivalent à celui que produit une pile de 1,5 V à 1500 km.
La capacité des poissons à souffrir
En accord avec leurs autres sensibilités, la capacité des poissons à ressentir le stress et la douleur ne fait pas de doute. Lorsqu'ils sont poursuivis, enfermés, ou menacés de toute autre manière, ils réagissent comme le font les humains face au stress par l'augmentation de leur fréquence cardiaque, de leur rythme respiratoire, et par une décharge hormonale d'adrénaline. La prolongation de conditions adverses, telles la trop grande promiscuité ou la pollution, les amène à souffrir de déficience immunitaire et de lésions organiques internes. Tant par sa biochimie que par sa structure, leur système nerveux central ressemble étroitement au nôtre. Chez les vertébrés, les terminaisons nerveuses libres enregistrent la douleur ; les poissons en possèdent en abondance. Leur système nerveux produit aussi des enképhalines et des endorphines, substances analogues aux opiacées et qui possèdent un rôle anti-douleur chez les humains. Quand ils sont blessés, les poissons se tordent, halètent, et exhibent d'autres signes de douleur.
Il est clair que les poissons ressentent la peur, qui joue un rôle dans l'acquisition du comportement d'évitement. Si un vairon a été une fois attaqué par un brochet, ou en a seulement vu d'autres se faire attaquer, l'odeur d'un brochet suffit à lui faire prendre la fuite. Des poissons qui ont subi l'attaque de jeunes brochets prennent la fuite lorsqu'ils entendent le grincement de dents de ces derniers. Le chercheur R.O. Anderson a montré que les perches à grande bouche apprennent rapidement à éviter les hameçons simplement en en voyant d'autres s'y faire prendre. Des centaines, voire des milliers, d'expériences ont été faites au cours desquelles des poissons ont été amenés à accomplir des tâches dans le but d'éviter des chocs électriques.
De nombreux expérimentateurs ont reconnu avoir induit de la peur à des poissons. Parmi les « observations sur des comportements motivés par la peur chez les poissons rouges » faites par le psychiatre Quentin Regestein, on trouve : « Un poisson effrayé peut s'élancer en avant, ou battre en retraite, ou s'agiter sur place, ou tomber simplement flasque s'il est dépassé par la situation. »
Les poissons crient tant de douleur que de peur. Selon Michael Fine, biologiste de la mer, la plupart des poissons qui produisent des sons « vocalisent » quand on les touche, quand on les tient, et quand on les poursuit. Dans une série d'expériences, William Tavolga fit grogner des poissons-crapauds en leur infligeant des chocs électriques. Ils se mirent bientôt aussi à grogner à la simple vue des électrodes.
Auckland, Nouvelle-Zélande - Des scientifiques ont démontré que les poissons pouvaient communiquer à l'aide de petits grognements, grondements et autres bruits de bouche.
La conclusion d'une étude menée à l'Université d'Auckland prouverait que le silence n'est pas d'or sous l'eau. Les chercheurs auraient ainsi démontré que les poissons communiquent pour se séduire, pour s'avertir du danger, pour donner des directions ou juste avoir des discussions de fond. Le chercheur Shahriman Ghazali de l'Université d'Auckland a présenté son travail lors de la 50e Conférence annuelle du département de la Science Marine de Nouvelle-Zélande et espère maintenant pouvoir décoder les contextes pour chacun des types de communication et savoir ce que chaque son doit vouloir dire. Pour cela, il place différentes espèces de poissons dans des aquariums, attend qu'ils commencent à se sentir chez eux, et enregistre ensuite la moindre perturbation dans l'eau à l'aide de micro et d'autres instruments adaptés.L'étude aurait révélé que la morue n'est pas très bavarde alors même que le grondin, ou plus communément rouget est particulièrement communicatif et cela toute la journée. Pour l'instant les hypothèses seraient qu'ils essaient d'attirer des congénères, ou afin d'effrayer des prédateurs ou s'orienter autour des récifs. Certaines communications s'articulent autour de la saison des amours, où faire du bruit permettrait de synchroniser la libération des oeufs afin de permettre la fertilisation.M. Ghazali conseille finalement aux propriétaires de poissons rouges de ne pas se retenir de parler à leur petit animal. "Les poissons rouges ont une excellente écoute mais ne produisent pas de son particulier", a-t-il affirmé.
Quelques mots sur les poissons
On compte quelque 28 000 espèces de poissons différentes, qui représentent environ la moitié des espèces de vertébrés (animaux pourvus d’une épine dorsale) connues dans le monde. Certains poissons sont adaptés à presque tous les types d’environnements aquatiques, qu’il s’agisse de mares, de lagons ou d’océans.
La plupart des gens pensent que le poisson a un cerveau minuscule et que sa mémoire est extrêmement brève. Cependant, les scientifiques ont découvert que les poissons sont bien plus intelligents qu’on ne le laisse entendre. Les biologistes et les psychologues qui étudient les poissons affirment que ces derniers possèdent des capacités d’apprentissage et une mémoire, ainsi qu’un éventail d’autres aptitudes cognitives. Le poisson arc-en-ciel australien a appris à s’échapper d’un filet dans son aquarium, et s’en souvenait encore plusieurs mois après. En outre, les poissons qui ont survécu à la capture dans un filet au début de leur vie apprendront à s’éloigner à l’approche d’un chalutier.
Dans un article paru en 2003 dans la revue Fish and Fisheries, les biologistes Calum Brown, Keven Laland et Jens Krause ont cité plus de 500 documents de recherche corroborant le fait que les poissons sont désormais perçus comme des créatures tout à fait intelligentes, aux relations sociales très complexes. Les poissons coopèrent pour examiner leurs prédateurs et trouver leur nourriture et, parfois, ils adoptent même des stratégies de manipulation, de punition et de réconciliation.
Les recherches effectuées au cours des dernières années montrent que les poissons reconnaissent leurs congénères ainsi que le prestige social. Ils ont même des relations. Les scientifiques ont également remarqué que certains poissons ont des traditions culturelles stables, comme l’utilisation d’outils et la construction de nids complexes. Certains poissons d’Afrique du Sud, par exemple, pondent leurs oeufs sur des feuilles avant de les emmener dans un endroit sûr, la feuille servant de panier pour le transport. On sait aussi que d’autres poissons entretiennent des jardins dans lesquels ils favorisent la pousse d’algues savoureuses en éliminant les plantes qu’ils n’aiment pas.
Les sensations des poissons
Beaucoup de gens croient toujours que les poissons sont des créatures idiotes qui n’ont pas conscience de leur environnement. Les gens peuvent ainsi croire que la pêche n’est pas un problème et que les poissons qu’ils attrapent ne souffrent pas. Il n’y a rien de plus faux. Les poissons sont en réalité dotés d’un système nerveux complexe qui comprend la douleur et y répond. Comme l’explique Donald Broom, conseiller scientifique auprès du gouvernement britannique : « La documentation scientifique est assez claire. D’un point de vue anatomique, physiologique et biologique, le système de la douleur des poissons est quasiment identique à celui des oiseaux et des animaux ». Au Royaume-Uni, les scientifiques de l’université d’Édimbourg et du Roslin Institute expliquent qu’en réponse à la douleur, les poissons ressentent également le stress qui se traduit par un mouvement de « balancement » de l’animal. Ce mouvement ressemble assez à celui que l’on observe chez les mammifères souffrant de stress. Au bout du compte, il est clair que les poissons souffrent lorsqu’ils mordent à un hameçon ou lorsqu’ils sont pris dans un filet. Ils souffrent comme tous les mammifères
Le saviez-vous?
Chez certaines espèces de poisson, la femelle et le mâle ont une forme ou des couleurs différentes mais, chez de nombreuses autres espèces, il n’y a aucune différence visible pour l’homme.
• Il existe quelques espèces de poisson tout à fait uniques qui ont des poumons et qui respirent l’air, mais la plupart respirent à l’aide de branchies. Les branchies sont composées de minces couches de tissu couvertes de vaisseaux sanguins. Lorsque l’eau passe sur les branchies, l’oxygène dissout pénètre dans le sang et les déchets, comme le dioxyde de carbone, sont rejetés dans l’eau. Les branchies sont protégées par une plaque osseuse que l’on appelle un opercule.
• La plupart des poissons ont une ligne latérale composées d’une rangée d’écailles allant de leur tête à leur queue. Sous ces écailles se trouve un système composé de canaux remplis de fluide et de cellules spécialisées qui transmettent des vibrations au cerveau. Cette ligne latérale aide les poissons à détecter des objets dans l’eau, notamment les prédateurs et les proies.
• Si vous touchez un poisson, vous le trouverez probablement gluant. Ce dépôt gluant dont est recouvert le poisson est en fait le mucus sécrété par sa peau. Cette couche de mucus protège le poisson contre les parasites et les maladies, couvre les blessures pour empêcher toute infection et l’aide à avancer plus vite. Le mucus de certaines espèces de poissons contient également des toxines qui repoussent leurs prédateurs.
• Le biologiste marin Ben Wilson, du Bamfield Marine Science Centre (Canada), a dirigé en 2003 une étude qui a permis de découvrir que le « pet » est peut-être très important, dans la mesure où il aide les poissons à communiquer entre eux dans l’obscurité. Les chercheurs ont découvert que le hareng émettait de petits bruits semblables à des pets, en avalant de l’air à la surface et en le faisant ressortir par un orifice situé près de sa queue. Ces bruits semblent aider les poissons à localiser leurs congénères lorsqu’il fait nuit, sans éveiller l’attention des prédateurs.
• La perche grimpeuse, originaire d’Inde, peut se déplacer sur le sol afin de rechercher de l’eau lorsque le trou d’eau dans lequel elle se trouve est sec!
• Les poissons communiquent entre eux à l’aide de divers petits cris aigus et d’autres sons à basse fréquence que les humains ne peuvent entendre qu’à l’aide d’instruments spéciaux. Certains poissons chantent pour faire la cour à des partenaires éventuels.
• Les poissons aiment être touchés et, souvent, ils se frottent les uns contre les autres… un peu comme un chat qui vient se frotter contre vos jambes.
• La chair de poisson est souvent contaminée par le mercure (qui peut causer des dommages au cerveau) et des produits chimiques toxiques comme le DDT, les BPC et des dioxines (qui ont été mis en cause dans des affections telles que le cancer, les troubles du système nerveux et les infections du fœtus), ainsi que des bactéries.
les animaux communiquent vraiment
Il a été prouvé que le langage est une forme symbolique et créative de communication. Il ne s''agit pas uniquement d''une succession de buts à effet immédiat? Contrairement aux humains, les animaux communiquent généralement seulement dans trois situations spécifiques. Pour échanger une information sur les sources de nourriture, pour renforcer les liens entre les partenaires pendant la saison des amours ou pour appeler à l''aide en cas de danger. La caractéristique de la communication animale est que chaque signal correspond à une seule information. Une nuit pluvieuse le concert d''une grenouille remplit l''obscurité d''une mare. Il invite les femelles de sa puissante voix. Les sérénades locales dans la foret s''élèvent avec la beauté des chansons nocturnes.La plainte du coyote brise le silence et la sècheresse d''un désert poussiéreux . Les sons de la nature sont tout autour de nous, c''est la preuve de la richesse du royaume animal. Ces sons peuvent être des messages codés provenant des animaux. Mais il s''agit certainement en fait de leur propre langage.
Les animaux marins communiquent par sons. Précisemment pour communiquer et spécialement la nuit.Les poissons ont une adaption anatomique a la fois pour produire leurs propres sons distinctifs et aussi pour les recevoir. Leur principal instrument est généralement leur vessie remplie de gaz.Ils produisent des sons différents selon leur race de poisson.certains grognent, d''autres produisent de longs et lents hoquets,alors que pendant ce temps un autre fait un bruit de corne de brume. Le choeur pourrait avoir plusieurs fonctions comme partager des informations au sujet des meilleures sources de nourriture et peut-être produire des hormones qui contrôlent le reproduction. Chez certains animaux, la communication a un niveau si sophistiqué que l'' on a déduit qu''ils ont un langage propre. par exemple un type de communication étrange prend naissance parmi les abeilles. Quand l''une d''elles découvre une source de nourriture elle retourne à la ruche ou elle passe l''information aux autres ouvrières. Ceci est fait par l''apparition de danses. la nourriture est localisée dans un cercle pour attirer l''attention, la localisation de la danse aura figure d''un huit. La rapidité de la danse indique la distance. Pour 40 tours correspond 100mètres, alors que 24 tours signifient plus que 500 mètres.
Selon une étude réalisée, il a été prouvé que les poissons communiquaient entre eux par le biais de sons.
Bien évidemment, il ne s’agit pas des mêmes sons que nous, les humains émettons ou encore moins ceux émis par les oiseaux. Une équipe de neurologues, d’anatomistes et de biologistes marins ont publié dans Science, le 18 Juillet dernier, une étude sur les cerveaux de différents poissons. Et c’est cette même étude, qui a prouvé qu’ils pouvaient émettre des sons suivant qu’ils recherchent la femelle ou défendent leur territoire. Qu’ils soient rouges ou bleus, les poissons communiquent grâce à un réseau neuronal primitif qui n’a eu de cesse d’évoluer chez les vertébrés.
Pour ceux qui veulent avoir des détails un peu plus scientifiques, il faut savoir que ces chercheurs ont mis en évidence un groupe de neurones un peu particulier chez les larves de poisson-crapaud. Avec l’aide d’un microscope, ils ont observé que ces cellules nerveuses se développaient et formaient des connections entre elles. Et ce réseau de communication, on le retrouve chez les Amphibiens, Reptiles, Oiseaux et Mammifères.
Nous ne savons pas ce que vous en pensez, mais c'est le genre de nouvelle qui nous pousse à réfléchir effectivement un peu plus sur nos origines et notre évolution.
Le monde perceptif des poissons
Les oreilles intérieures des poissons perçoivent tout un monde aquatique que les humains ne peuvent appréhender sans l'aide d'hydrophones. Sans avoir de cordes vocales, les poissons « parlent ». En comprimant leurs vessies natatoires, en faisant grincer leurs dents pharyngales, en frottant ensemble certaines de leurs arêtes, ils produisent des sons qui peuvent varier de bourdonnements et de clics à des glapissements et des sanglots. Selon les découvertes des spécialistes de la biologie marine, les « vocalisations » des poissons communiquent des états comme la cour, l'alarme ou la soumission, en même temps que l'espèce, la taille et l'identité individuelle du « locuteur ». Le satinfin shiner mâle, par exemple, ronronne lors de sa cour et émet des coups sourds quand il défend son territoire.
La ligne latérale, organe sensitif que la plupart des poissons possèdent de chaque côté du corps, formée d'une série de poils sensibles alignés de la tête à la queue, détecte elle aussi les vibrations. Pendant la nage, elle signale au poisson les objets proches grâce aux vibrations qu'ils renvoient, autorisant ainsi la navigation et la localisation précise des proies dans l'obscurité.
La sensibilité des poissons à la lumière est supérieure à la nôtre. Beaucoup de poissons des profondeurs voient dans une pénombre où un chat ne voit rien. Les espèces d'eau peu profonde ont une vision à deux niveaux à l'aube, les cônes de la rétine, sensibles à la couleur, s'avancent, et les bâtonnets, sensibles à la lumière faible, se rétractent en profondeur ; au coucher du soleil, le processus s'inverse. Pendant la transition, de nombreux poissons bénéficient d'une aptitude à percevoir la lumière ultraviolette, qui suffit à leur indiquer la silhouette des insectes à la surface de l'eau. Une lumière vive soudaine, due par exemple à une lampe de poche, surprend et désoriente un poisson dont la vision s'est adaptée à la nuit. Il arrive alors qu'il fuie, ou qu'il se fige sur place, ou qu'il coule. La lumière peut aussi détruire des bâtonnets.
Chez la plupart des poissons, les papilles gustatives se répartissent non seulement dans la bouche et la gorge, mais aussi sur les lèvres et le museau. Beaucoup d'espèces qui se nourrissent sur le fond ont des récepteurs gustatifs aussi sur des extensions de leurs nageoires pelviennes ou sur des barbes sous leur menton, qui jouent le rôle de langues externes. Les poissons-chats, grâce à leurs centaines de milliers de récepteurs gustatifs, peuvent goûter la nourriture à une certaine distance.
Quelle sensibilité les poissons ont-ils aux odeurs ? Les saumons peuvent parcourir des milliers de kilomètres au cours de leurs migrations, et, plusieurs années plus tard, reconnaître à l'odeur leur cours d'eau d'origine. Les anguilles américaines détectent l'alcool à une concentration d'un milliardième de goutte dans 90 m3 d'eau (le contenu d'une grande piscine). D'après sa seule odeur, certains poissons peuvent déterminer l'espèce, le genre, la réceptivité sexuelle, ou l'identité individuelle d'un autre poisson.
Les poissons réagissent fortement au fait d'être touchés. Lors de la cour, ils se frottent souvent doucement l'un contre l'autre. Des enregistrements effectués par le Narragansett Marine Laboratory ont révélé que le robin des mers [sea robin] ronronne quand on le caresse. Ricardo Mandojana, photographe sous-marin, gagna l'amitié d'un poisson-juif initialement méfiant en lui grattant légèrement le front. Au cours des mois suivants, le poisson, apparemment impatient de se faire caresser, venait à la rencontre du plongeur lors de ses tournées.
De nombreuses espèces de poissons ont des centaines de récepteurs électriques sur leur peau, qui leur permettent de détecter la forme du champ qu'ils produisent eux-mêmes. Un objet moins conducteur que l'eau, telle une roche, forme une ombre dans le champ ; un objet plus conducteur, telle une proie, apparaît comme un point brillant. L'image électrique que perçoit le poisson lui indique le lieu, la taille, la vitesse et la direction de déplacement de l'objet. Un poisson électrique peut aussi « lire » la décharge produite par un autre, laquelle dépend de la taille, de l'espèce, de l'identité individuelle et des intentions (qui peuvent être, par exemple, le défi ou la recherche d'un partenaire sexuel) de celui qui le produit. Le poisson-couteau rayé mâle affirme sa dominance par le moyen d'une série rapide d'impulsions ; son rival potentiel se soumet en cessant de « parler ».
Qu'ils produisent ou non eux-mêmes des signaux électriques, de nombreux poissons sont sensibles au champ électrique qu'engendre tout être vivant et peuvent ainsi détecter une proie cachée sous le sable ou le gravier. Theodore Bullock, spécialiste des systèmes nerveux, a noté que certains requins peuvent percevoir un champ électrique équivalent à celui que produit une pile de 1,5 V à 1500 km.
La capacité des poissons à souffrir
En accord avec leurs autres sensibilités, la capacité des poissons à ressentir le stress et la douleur ne fait pas de doute. Lorsqu'ils sont poursuivis, enfermés, ou menacés de toute autre manière, ils réagissent comme le font les humains face au stress par l'augmentation de leur fréquence cardiaque, de leur rythme respiratoire, et par une décharge hormonale d'adrénaline. La prolongation de conditions adverses, telles la trop grande promiscuité ou la pollution, les amène à souffrir de déficience immunitaire et de lésions organiques internes. Tant par sa biochimie que par sa structure, leur système nerveux central ressemble étroitement au nôtre. Chez les vertébrés, les terminaisons nerveuses libres enregistrent la douleur ; les poissons en possèdent en abondance. Leur système nerveux produit aussi des enképhalines et des endorphines, substances analogues aux opiacées et qui possèdent un rôle anti-douleur chez les humains. Quand ils sont blessés, les poissons se tordent, halètent, et exhibent d'autres signes de douleur.
Il est clair que les poissons ressentent la peur, qui joue un rôle dans l'acquisition du comportement d'évitement. Si un vairon a été une fois attaqué par un brochet, ou en a seulement vu d'autres se faire attaquer, l'odeur d'un brochet suffit à lui faire prendre la fuite. Des poissons qui ont subi l'attaque de jeunes brochets prennent la fuite lorsqu'ils entendent le grincement de dents de ces derniers. Le chercheur R.O. Anderson a montré que les perches à grande bouche apprennent rapidement à éviter les hameçons simplement en en voyant d'autres s'y faire prendre. Des centaines, voire des milliers, d'expériences ont été faites au cours desquelles des poissons ont été amenés à accomplir des tâches dans le but d'éviter des chocs électriques.
De nombreux expérimentateurs ont reconnu avoir induit de la peur à des poissons. Parmi les « observations sur des comportements motivés par la peur chez les poissons rouges » faites par le psychiatre Quentin Regestein, on trouve : « Un poisson effrayé peut s'élancer en avant, ou battre en retraite, ou s'agiter sur place, ou tomber simplement flasque s'il est dépassé par la situation. »
Les poissons crient tant de douleur que de peur. Selon Michael Fine, biologiste de la mer, la plupart des poissons qui produisent des sons « vocalisent » quand on les touche, quand on les tient, et quand on les poursuit. Dans une série d'expériences, William Tavolga fit grogner des poissons-crapauds en leur infligeant des chocs électriques. Ils se mirent bientôt aussi à grogner à la simple vue des électrodes.
Re: poissons et communication
c'est sur que les poissons n'ont pas le même langage que nous mais il est certains qu'ils communiquent entre eux!
Pour la mémoire, on le voit très bien ici, plus le temps passe et plus il est difficile de prendre du poisson, les montages doivent être de plus en plus précis et les appâts de plus en plus petits!
Pour la mémoire, on le voit très bien ici, plus le temps passe et plus il est difficile de prendre du poisson, les montages doivent être de plus en plus précis et les appâts de plus en plus petits!
gautier2305- Flash and Release
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Re: poissons et communication
Un article passionnant à lire mais à relire, qui amène d'autres questions, mais qui lève le voile de certaines interrogations. Merci benny de ce travail de recherche qu'il faut lire de A à Z. :Merci:
Re: poissons et communication
Merci, mais ça ne fait pas avancer le chmilblique j'essaye en vain de trouver le site ou l'on pouvait entendre les sons qu'émettent divers poissons ... je persévère ...
Re: poissons et communication
bon courage pour trouver ca Benny!!!et si tu avais la traduction avec ce serait niquel!
gautier2305- Flash and Release
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